Fessée au pensionnat chez les soeurs

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il y a 6 ans

Fessée au pensionnat chez les soeurs

Après une année plutôt mouvementée à l’école du village, mes parents avaient mis à exécution la menace maintes fois prononcées et m’avaient mise en pension. N’eût été le régime strict de l’établissement, la vie était plutôt agréable avec mes nouvelles copines et ce CM2 se passait bien depuis la rentrée. L’encadrement était assuré par deux sœurs assez revêches mais pas trop mauvaises. Jusqu’à ce jour de décembre…

Je ne sais pas trop ce qui me prit ce jour-là, mais sœur Marie m’ayant fait une énième remarque sur mon comportement, et comme cette fois je n’y étais pour rien, je l’avais prestement envoyée balader d’une manière pour le moins vulgaire ! La sœur ne montra pas le moindre signe d’énervement, se fendant juste d’un :

« Puisque c’est ainsi que vous voyez la chose, Claire, je vous amène voir la directrice ! »

Elle m’avait pris par l’épaule et nous étions montées au premier étage en direction du bureau redouté. Je fus non seulement surprise par le calme de sœur Marie, mais je le fus également par le calme de la directrice qui, après s’être fait expliquée les raisons de cette visite annonça sa sentence :

« Sœur Marie, je pense qu’une bonne fessée devrait remettre cette jeune fille dans le droit chemin… Veuillez nous laisser quelques instants s’il vous plaît. »

Pendant que sœur Marie sortait du bureau, la directrice me prit la main et m’attira vers elle.

« Claire, vous devez comprendre que je dois vous punir pour que vous compreniez que l’on ne doit pas parler comme vous le faites à des adultes… »

Que répondre si ce n’était un timide « oui… » terrible dans ma position d’accepter de la sorte la punition qui va venir.

Elle releva ma petite jupette et m’allongea sur ses genoux. J’étais totalement désarmée, les jambes ballantes, la tête basse et mon dernière généreusement offert. Pour l’instant, seule ma petite culotte blanche semblait offrir un dernier rempart à la correction… bien faible rempart !

Et la fessée commença… Lentement, la directrice élevait la main et d’un geste sec l’abattait sur mon derrière. A chaque fois, je ne pouvais m’empêcher de laisser échapper un cri de douleur. Elle prenait son temps et me mettait au supplice. Mon derrière me faisait déjà souffrir alors qu’elle ne m’avait donné que quelques claques. J’avais beau supplier, jurer que je ne recommencerais plus, elle continuait ma correction et la cuisson devenait de plus en plus intenable. Au bout d’une vingtaine de claques, elle s’arrêta soudainement.

« Voilà Claire, je viens de vous punir pour avoir répondu à sœur Anne, j’espère que vous avez compris… »

Soulagée d’en avoir fini, je promettais de ne plus jamais recommencer.

« A la bonne heure, voilà une sage résolution, Claire… Vous voyez sœur Marie, cette petite commence à comprendre… »

Je pouvais enfin me relâcher. Pendant la punition, j’avais beau essayer de me décontracter entre chaque claque, la suivante me faisait raidir les muscles et donc les fesses, rendant la fessée plus douloureuse encore.

« Maintenant Claire, je vais vous punir pour avoir proférer de si vilaines insultes… de tels mots grossiers ne devraient pas avoir place dans la bouche d’une petite fille… »

Oh non ! Elle allait recommencer à martyriser mon derrière. Je pensais en avoir terminé et…

« Pour ce faire, vous allez recevoir une fessée déculottée devant sœur Marie que vous avez insultée ! »

Je tentais quelques timides gémissements… mais rien ne semblait altérer la résolution de la directrice. Ce qui m’inquiétait, c’était la perspective d’une nouvelle correction et surtout ce mot « déculottée » que je ne comprenais pas ! A la maison, les fessées étaient toujours données par-dessus la jupe… Elle rappela sœur Marie qui entra…

« Sœur Marie, je viens d’indiquer à Claire que pour vous avoir insultée, elle allait recevoir une fessée déculottée devant vous. Pensez-vous que cette punition soit adaptée ? »

Au mot « déculottée », j’avais vu le regard de sœur Marie s’illuminer et un petit sourire se formait au coin de sa bouche. Tout cela semblait lui faire terriblement plaisir !

Je n’eus pas le temps d’entendre la réponse que je sentais déjà la main de la directrice attr a p e r l’élastique de ma culotte. Je venais de comprendre… elle allait me donner la fessée à cul nu… et devant sœur Marie. Quelle honte !

Elle tira sur l’élastique et, par des mouvements de droite à gauche, me baissa la culotte petit à petit. Bientôt je sentis le froid du bureau sur les fesses pourtant chauffée par la fessée précédente. C’était fait ! J’étais cul nu… pour la première fois de ma vie, je sentais la honte d’exposer ainsi mon derrière à celle qui me corrigeait et surtout à celle que j’avais insultée… et qui était aux anges ! La directrice continua à baisser ma culotte jusqu’aux genoux.

Et la fessée reprit. C’était encore plus insupportable que la première fois. Le derrière déjà ébranlé par la première fessée avait de plus en plus de mal à encaisser les nouvelles claques. Je me tordais dans tous les sens, mais le bras ferme de la directrice me maintenait en position, le derrière bien exposé à la correction méritée. La directrice ponctuait les claques de quelques commentaires humiliants pour moi.

« Regardez, sœur Marie, ce jeune derrière qui rougit ! C’est une petite fille qui commence à comprendre, n’est ce pas Claire ? »

La directrice s’arrêta au bout d’une autre vingtaine de claques, me laissant complètement chancelante, le derrière en feu. J’avais un mal de chien. C’était la première fois de ma vie que je ressentais une telle douleur et une telle humiliation.

Et en me relevant…

« Allez jeune fille, une petite séance de coin vous fera du bien. »

Elle m’indiqua un endroit du bureau que j’eu beaucoup de peine à rejoindre, la culotte toujours sur les genoux, sous le regard goguenard de sœur Marie. Je mis mes mains dans le dos et la jupe relevée, histoire que la directrice puisse voir mon derrière bien rougi.

Je croyais avoir tout vu…

Au bout d’une heure au coin, la directrice fit entrer dans son bureau une dame accompagnée d’une fille d’une dizaine d’années comme moi. La maman sembla étonnée en me voyant ainsi.

« Ne vous inquiétez pas, madame, cette jeune fille s’était cru autorisée à insulter une de nos sœurs surveillantes… j’ai dû la remettre dans le droit chemin. »

En s’asseyant, la maman continua la conversation.

« Ainsi vous utilisez la fessée cul nu… c’est une excellente méthode, j’approuve. Tu vois Magali ce qui t’attends… »

J’étais anéantie par la honte d’être ainsi un animal de foire, le derrière exposé à ces gens que je ne connaissais pas, servant de démonstration pour cette nouvelle inscrite, encaissant les réflexions…

Une fois son rendez-vous terminé, la directrice vont vers moi, m’asséna une dernière claque magistrale sur les fesses et me libéra.

Quelques jours plus tard, Magali était devenue une super copine.

Claire

Elles vont en avoir des choses à se raconter, Claire et Magali.
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